Salon des vins des vignerons indépendants Paris Porte de Versailles 2007

L’échéance approche, cette année la messe vigneronne parisienne aura lieu du 22 au 26 novembre. On peut (on doit?) préparer sa visite sur le site des vignerons indépendants. Pour ceux qui seraient effrayés de choisir parmi les quasi 1000 vignerons exposants voici un petit Guide de visite parfaitement subjectif de mes adresses préférées.

Bonne dégustation!

Ah oui, je tiens des invitations à disposition pour ceux qui en veulent

Utilisation basique de GnuPG pour crypter et décrypter des fichiers

GnuPG (ou GPG) est un logiciel de cryptographie complet qui implémente la norme OpenPGP. Les possibilités de GnuPG dépassent largement le cadre de ce billet, ceux qui veulent approfondir le sujet se réjouiront de la doc officielle.

GnuPG est préinstallé sous Debian et Ubuntu ainsi qu’avec la majorité des distributions Linux je crois. Le projet Gpg4win fournit un programme d’installation pour Windows qui inclus GnuPG et différents modules complémentaires. Les commandes de gpg sont les mêmes dans les différents environnements. GnuPG est avant tout un logiciel de cryptage asymétrique (clé publique – clé privée) et son domaine de prédilection est la transmission sécurisée d’information entre utilisateurs. Mais on peut aussi s’en servir pour faire du cryptage simple, c’est ce qu’on va voir ici.

Le problème à résoudre est le suivant :

Un utilisateur gère sur son poste de travail des informations confidentielles. L’accès au poste de travail étant protégé, on estime la sécurité suffisante sur le poste (ça pourrait se discuter mais c’est pas le sujet). Par contre les sauvegardes sont effectuées sur un serveur dont l’accès est public. On ne peut donc pas y sauvegarder les données confidentielles en l’état.

La solution va être de crypter les données avant de les sauvegarder, voilà comment :
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Mise à jour WordPress avec Subversion

Jusqu’à maintenant je faisais les mises à jour WordPress de la façon laborieuse, en recopiant les fichiers à la mimine. J’ai profité de la version 2.3.1 pour créer un « checkout » subversion qui devrait simplifier les futures mises à jour. J’ai suivi les instructions du Codex WordPress :

Créer un répertoire de blog temporaire

mkdir blognew

Dans ce répertoire extraire la dernière version stable de WordPress (attention au point à la fin de la commande svn)

cd blognew
svn co http://svn.automattic.com/wordpress/trunk .

Recopier à la main les éléments personnalisés (.htaccess, wp-config.php, wp-content/, etc…) du répertoire de blog actuel vers le nouveau

Sauvegarder la base de données

Renommer les répertoires :

mv blog blog.save
mv blognew blog

Lancer le script de mise à jour (il n’y avait pas de mise à jour de la base pour cette version) :

http://tavie.onsenfout.com/wp-admin/upgrade.php

La prochaine mise à jour (2.3.2 ?) pourra être effectuée avec la commande :

cd blog
svn update

nail, un programme de mail providentiel

Les administrateurs linux savent bien comme c’est galère d’envoyer un mail avec pièce jointe dans un fichier batch, par exemple pour joindre un fichier de log à un message d’erreur. Les programmes classiques mail et sendmail ne gèrent pas directement les attachements mime et il faut passer par des programmes externes qui compliquent sérieusement la vie.

J’en était là lorsque la Providence, qui par chance n’avait rien à faire aujourd’hui, m’a mis le nez sur nail. Exactement ce que je cherchais depuis des mois : simple, efficace, puissant, c’est du tout bon.

exemple:

nail -s "Sujet du message" -a /chemin/fichier_a_joindre destinataire < fichier_message

c’est pas beautiful ça?

Les fonctionnalités de nail ne s’arrêtent pas là, c’est un programme de mail complet qui peut être utilisé aussi bien pour l’envoi que pour la réception de messages, avec gestion IMAP, POP, SMTP, S/MIME, mais là faut lire la man page.

home sourceforge : http://sourceforge.net/projects/nail/

debian/ubuntu :

apt-get install nail

Changer d’opérateur téléphonique, quelle affaire!

Ce billet ne sera sans doute utile qu’aux handicapés du téléphone comme moi, pour les gens normaux j’imagine que j’enfonce des portes ouvertes.

Le portable jusque là j’en faisait un usage très modéré, j’avais juste une carte Bouygues Nomad qui me durait 6 mois, mon portefeuille et moi-même étions heureux comme ça. Et puis voilà, changement de boulot, ma consommation a explosé, il a fallu trouver un forfait, putain c’est cher! Mon ami Google m’a trouvé Debitel, qui m’a semblé sensiblement moins arnaqueur que le trio Orange-SFR-Bouygues, je pouvais garder mon portable et mon numéro, je me suis lancé. C’est pas la mort mais il y a des choses à savoir.

Pour conserver son numéro il faut communiquer au nouvel opérateur un code appelé RIO. Chez Bouygues on l’obtient en appelant le 658, fastoche, le code arrive par SMS. Je communique la chose à Debitel, dans leur doc ils disent qu’il faut 7 jours de délai, donc je demande le portage du numéro pour dans 15 jours histoire de laisser un peu de marge. Lorsque je reçois le courrier de Debitel ils m’annoncent que le portage aura lieu une semaine plus tard que prévu. Bon, c’est pas bien grave.

Le jour arrivé, je mets ma puce Debitel dans le téléphone, et là rien ne va plus, après avoir tapé le code PIN je me retrouve en appels restreints. Ben oui mon téléphone est bloqué sur Bouygues, il faut le débloquer, desimlocker qu’ils disent. J’y avais pas pensé, et j’aurais du. Parce que le déblocage, il faut le faire avant que le numéro soit transféré chez l’autre opérateur, sinon ça marche pas, en tout cas ça m’a causé bien des soucis.

Pour débloquer le portable il faut appeler l’opérateur chez qui on l’a acheté (Bouygues dans mon cas), qui donne bien aimablement un code de déblocage correspondant au modèle du téléphone. Déjà il faut pouvoir joindre le service clients adéquat de Bouygues, c’est le 0825 825 634 (ou 634 si on est encore chez eux), et là il faut taper le numéro de téléphone d’abonné, oui mais si le numéro a été transféré chez l’autre opérateur on n’est plus abonné, au revoir. Après quelques coups de fil en 08-aboule-tes-tunes j’ai pu avoir le code magique ###0 qu’il faut taper à la place du numéro de téléphone pour pouvoir parler à un humain. L’humain en question était bien sympa, il m’a donné le code de déblocage (22 caractères quand même) et les tuyaux utiles (pour faire un « P » il faut taper trois fois la touche « * », ça s’invente pas) mais ça ne fonctionnait pas avec ma carte SIM debitel.

Heureusement pour moi, l’amour de ma vie avait encore un portable Bouygues, et j’ai résolu le problème en mettant sa carte SIM dans mon portable, là le code de déblocage peut être entré, j’ai remis la carte SIM Debitel, ouf ça marche!

Conclusion, il faut faire débloquer son portable dès que possible, soit 6 mois après l’achat, c’est une obligation pour les opérateurs, et une nécessité pour les utilisateurs que nous sommes!